Jean Pierre Chretien Continues his bid to destabilize Hutu Refugees in Europe

Published on by HAGANIRIMFURA

portrait-chretien.jpgThe French Commission of Investigation for the Citizens or Citizen Criminal Investigation Commission has faulsely and wrongly accused the Hutu Doctor Rwamucyo Eugene using the bias faulsehood fabricated by Dr Annie Faure and Jean Pierre Chretien to satisfy Kigali Regime. The following is the narative story of what has been happening in the court of Paris.
La Commission d’Enquête Citoyenne accuse à tort le docteur Rwamucyo Eugène par les biais du docteur Annie Faure et monsieur Jean-Pierre Chrétien

Le Dr Rwamucyo donne des arguments inhabituels contre lesquels la Commission d’Enquête citoyenne (CEC) qui l’accuse à tort ne trouve aucune réponse. Démuni de preuves, la CEC a opté pour les pratiques de dénonciations calomnieuses inacceptables. Perturbée par la prise de position du syndicat CFTC de l’hôpital Maubeuge qui n’est que citoyenne, non pour défendre le Dr Rwamucyo Eugène mais pour l’exercice d’une justice sereine, la CEC a tenté d’intimider par des lettres de menaces, le syndicat CFTC et la direction de l’hôpital de Maubeuge. La CEC a ensuite ouvert sur son site internet, une page spéciale «L’affaire Rwamucyo».

Avec le cas du docteur Eugène Rwamucyo, la CEC procède à une réécriture inversée de l’histoire, politicienne et idéologique sous l'égide de ce que Reyntjens (1994) appelait "l'école historique burundo-française". J.P. Chrétien du CNRS en serait l'initiateur et a été appelé en renfort au docteur Annie Faure, pour être certain que les instances et syndicat CFTC ferait suite honorable aux doléances d’un médecin qui dénonce son confère et un grand historien qui s’y connaît dans cette histoire rwandaise. De ce dernier, F. Reyntjens (1994, p.267) souligne encore "la déformation et l'indignation sélective" vis-à-vis des réalités rwando-burundaises, qui "peuvent encore se comprendre" de la part des acteurs indigènes, mais dont "on est étonné" lorsqu'il s'agit "d'observateurs étrangers" comme Chrétien et Faure. Cette asymétrie dans l'appréciation des faits endurés par les peuples du Rwanda-Burundi, se profile parfois comme une reconnaissance de droit inaliénable au crime pour les uns et de devoir d'inexistence pour les autres, appelés à se taire devant leurs calomnies insupportables.

Il est plus que temps pour la CEC de comprendre que dans les grands lacs africains, et particulièrement au Rwanda et au Burundi,  l'on est en présence de deux groupes d'Hommes, les hutu et les tutsi, dont les éléments extrémistes refusent, malgré les liens séculaires multiformes, la coexistence dans le respect et l'enrichissement mutuels. D’après nos enquêtes, ceux qui connaissent et ont connu le médecin rwandais affirment sans hésiter, que le docteur Rwamucyo Eugène n’est pas parmi les extrémistes qui prennent les rwandais et la justice internationale en  otage. Il est plutôt décrit comme un défenseur de la vérité et la justice, non pour chercher les coupables à tuer ou emprisonner, mais pour la réconciliation dont les rwandais ont tant besoin.

 

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